Avertissement (avec une rondelle de citron SVP)

Avertissement du roman :

Les évènements et les personnages de ce roman sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou mortes, ne saurait être que fortuite ou surnaturelle. (un Havre de paix éternelle, Corlet, mai 2010)

Faidherbe sortit du cabinet, ouvrit l’enveloppe, déplia une petite feuille qui s'y trouvait et lut, griffonné au stylo bille rouge et en lettres majuscules : « CITRON ». Il porta la feuille à la lumière, tournant le dos à madame Désirée qui cherchait à l’épier. Rien de plus à déchiffrer. Il glissa le tout dans sa poche et revint à Lécluse qui semblait l'attendre, tout sourire.

- « CITRON », monsieur Lécluse, ça vous dit quelque chose ?

- Rien. Commissaire, si c’est une réponse à question de vie ou de mort, c’est en tout cas une bien belle énigme.

(Un Havre de paix, chapitre 3)

(...)

- Tu ne lis pas « citron », toi ?

- Bien sûr que non. D’abord la deuxième oblique du M est effectivement écrasée contre le jambage, mais c’est quand même un M et, de plus, je me souviens de ce sigle. Voilà les bienfaits des arômes artificiels : ils stimulent le cortex cérébral et émerillonnent la judiciaire. Demande à Fésol, lui qui becquette du surimi un repas sur deux pour doper sa mémoire : faux crabe, vrai poisson.

Étrela écartela la plaisanterie de Lebru du geste dont on chasse une mouche.

- Qu’est-ce que ça veut dire ?

- C’est ou c’était la Compagnie Immobilière du TROisième Millénaire.

(Un Havre de paix, chapitre 7)

Or donc, la ressemblance avec une entreprise havraise qui fait l'actualité est absolument fortuite ou surnaturelle (piquez l'image pour en savoir plus)  :

(image France 3)